Rapport sur l’état de nos forêts

Suite à une série de rencontres, de discussions, d’observations et de recherches, un collectif d’habitants du plateau de Millevaches a rédigé le « rapport » téléchargeable ci-dessous au format pdf.

Ce document de 48 pages, illustré par de nombreuses photographies, se veut un outil de compréhension sur l’état actuel des forêts du plateau, sur l’histoire de son enrésinement, sur les divers problèmes que créent la monoculture et l’orientation industrielle.

Il se pense également comme une invitation à faire le point largement, collectivement, avec tous les habitants qui se sentent concernés par l’état de nos forêt et, au-delà, du territoire dans lequel elles s’inscrivent.

La brochure imprimée peut se trouver dans de nombreux lieux du plateau de Millevaches : au bistrot, à la mairie, au Gamm Vert du coin… ou chez votre voisin.

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Il existe également une version résumée qui présente la brochure (4 pages recto-verso), disponible aux mêmes endroits et téléchargeable ci-dessous :

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3 réponses à Rapport sur l’état de nos forêts

  1. Scharf dit :

    Etes-vous au courant du projet de construction d’une usine de pellets torréfiés sur le site de la gare bois de Bugeat-Viam? Nous sommes très inquiets des conséquences sur l’environnement de ce projet

  2. HAM64O_o dit :

    Je suis sur le bord du plateau, entre Bourganeuf et Aubusson… A coté, c’est une foret entière qui disparait… Le petit propriétaire retraité inoffensif vend son bois pour se payer, peut être, une nouvelle véranda Rideau ou une voiture… Ce sont des arbres centenaires qui tombent et tous les ans, il en coupe un peu plus… Et un jour plus rien, car il n’y aura plus rien à couper ou qu’il sera mort… Je ne sais quoi choisir… C’est une rage et une tristesse qui m’envahis à chaque fois que la cupidité coupe et mutile.

  3. isabelle rouleau dit :

    A quand une réunion de tous les habitants du Plateaux et des « plaignants » pour adresser une plainte collective peut-être au Ministère de l’environnement et autres instances gouvernementales, j’ai pu constater au Lauzat, c’est tout frais (comme partout où j’ai pu me « balader » que couper les arbres est devenu une mode? ou un mode de vie… ) une mise à nue de mon dernier bastion « sauvage » à cèpes merveilleux et chevreuils égarés, ou s’agit il simplement de regarder les arbres tomber…

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